Exploitations des documents.
Nous avons exploité deux documents mettant en avant l'association animal-algue composant le corail.
Le premier document est un tableau nous présentant les flux d'ions (ammonium et phosphate), selon l'organisme étudie ( animal avec ou sans zooxanthelle).
Le second document est présenté sous forme de deux graphiques mettant en évidence l'émission et le rejet de carbone des zooxanthelles en présence ou non de broyat de cnidaire.
Grace au premier document, nous avons pu observer :
- Quand l'animal est en présence du Zooxanthelle, le taux d'ammonium est de -0.05 et celui de phosphate de -100.
- Quand l'animal est sans le Zooxanthelle, le taux d'ammonium est de 0.32 et celui de phosphate de 276.
On peut en déduire que le flux positif signifie que le rejet d'ions est plus élevé que l'absorption.
En observant second document, on constate que :
- Quand les zooxanthelles sont en présence du broyat de cnidaire, il y a un échange entre eux.
- Quand les zooxanthelles sont seules, il n'y a pas d'échanges et moins de radioactivité rejetée.
D'après ces deux études de documents, on peut en conclure qu'il existe une association bénéfique aux deux êtres vivants, le cnidaire et le zooxanthelle, qui se complètent mutuellement.
Nous sommes ici, en présence d'un mécanisme de diversification nommé la symbiose.
Le premier document est un tableau nous présentant les flux d'ions (ammonium et phosphate), selon l'organisme étudie ( animal avec ou sans zooxanthelle).
Le second document est présenté sous forme de deux graphiques mettant en évidence l'émission et le rejet de carbone des zooxanthelles en présence ou non de broyat de cnidaire.
Grace au premier document, nous avons pu observer :
- Quand l'animal est en présence du Zooxanthelle, le taux d'ammonium est de -0.05 et celui de phosphate de -100.
- Quand l'animal est sans le Zooxanthelle, le taux d'ammonium est de 0.32 et celui de phosphate de 276.
On peut en déduire que le flux positif signifie que le rejet d'ions est plus élevé que l'absorption.
En observant second document, on constate que :
- Quand les zooxanthelles sont en présence du broyat de cnidaire, il y a un échange entre eux.
- Quand les zooxanthelles sont seules, il n'y a pas d'échanges et moins de radioactivité rejetée.
D'après ces deux études de documents, on peut en conclure qu'il existe une association bénéfique aux deux êtres vivants, le cnidaire et le zooxanthelle, qui se complètent mutuellement.
Nous sommes ici, en présence d'un mécanisme de diversification nommé la symbiose.