Conclusion : L'essentiel en quelques mots
Corail '' champignon ''
( nom scientifique : Fungia fungites )
Le corail est un animal de la famille des Cnidaires. Animal vivant en colonie, il résulte d'une association entre une algue (les zooxanthelles) et de petits animaux (les polypes). Ce mécanisme de diversification, est appelé la symbiose.
Cela permet l'obtention de bénéfices pour chacun des deux organismes hétérospécifiques. Les polypes, constructeurs du squelette de calcaire, bénéficient des lipides, protides et glucides fabriqués par les zooxanthelles et favorisant leur accroissement, tandis qu'eux, profitent du CO2 rejeté par les polypes, améliorant leurs conditions de photosynthèse.
Chaque polype, est le produit d'un clownage du polype originel, le premier présent sur le rocher.
Par ailleurs, sa reproduction peut se passer de deux façons différentes. Il y a une fécondation, (rencontre d'un spermatozoide et d'une ovule), mais elle peut être soit interne, soit externe. Dans les deux cas, après fertilisation, une larve est relâchée, devient un polype, et s'accroche à un rocher, avant de s'associer par symbiose à des zooxanthelles.
Les polypes s'assemblent alors entre eux, pour former les récifs coralliens. Ces récifs, qui sont de vrais services écosystémiques, servant de logis pour des milliers d'êtres vivants marins. Mais ces récifs sont eux même en danger. On dénombre deux classes de facteurs à risques : les naturels, tels que le réchauffement climatique ou l'augmentation de l'acidité de l'océan, et ceux causés par l'homme, tels que la pollution et le braconnage.
Le récif corallien, une association symbiotique prospère, très menacée mais protégée, devrait ainsi prospérer pendant de longues années à venir.
Les coraux sont donc des animaux symbiotes (consommateurs) qui hébergent des cellules chlorophylliennes, des zooxanthelles (producteurs primaires) permettant ainsi l'édification d'un squelette minéral (calcaire).
Cela permet l'obtention de bénéfices pour chacun des deux organismes hétérospécifiques. Les polypes, constructeurs du squelette de calcaire, bénéficient des lipides, protides et glucides fabriqués par les zooxanthelles et favorisant leur accroissement, tandis qu'eux, profitent du CO2 rejeté par les polypes, améliorant leurs conditions de photosynthèse.
Chaque polype, est le produit d'un clownage du polype originel, le premier présent sur le rocher.
Par ailleurs, sa reproduction peut se passer de deux façons différentes. Il y a une fécondation, (rencontre d'un spermatozoide et d'une ovule), mais elle peut être soit interne, soit externe. Dans les deux cas, après fertilisation, une larve est relâchée, devient un polype, et s'accroche à un rocher, avant de s'associer par symbiose à des zooxanthelles.
Les polypes s'assemblent alors entre eux, pour former les récifs coralliens. Ces récifs, qui sont de vrais services écosystémiques, servant de logis pour des milliers d'êtres vivants marins. Mais ces récifs sont eux même en danger. On dénombre deux classes de facteurs à risques : les naturels, tels que le réchauffement climatique ou l'augmentation de l'acidité de l'océan, et ceux causés par l'homme, tels que la pollution et le braconnage.
Le récif corallien, une association symbiotique prospère, très menacée mais protégée, devrait ainsi prospérer pendant de longues années à venir.
Les coraux sont donc des animaux symbiotes (consommateurs) qui hébergent des cellules chlorophylliennes, des zooxanthelles (producteurs primaires) permettant ainsi l'édification d'un squelette minéral (calcaire).